A. Hanoteau : Essai de grammaire kabyle : renfermant les principes du langage parlé par les populations du versant nord du Jurjura et spécialement par les Igaouaouen ou zouaoua||suivi de notes et d'une notice sur quelques inscriptions en caractères dits Tifinar' et en langue Tamacher't

CHANSONS“) Thifcih’in s ethk’ebailith g ouasiff en Sah’el XVI THAFCIH ETH THAMZOt?AROUTH Tharottsi tharmouaronth Lûlam ichcnid marichon ikheredj iflcn <2> lii khclaf oui ikkâten ennichan h ezzad en sen Ah’alil ouâouidj tser’echchan ebnou a th serscn !; '< " ’ ' Tharousi thi.sseno.th Ailh irai lien d'eg zik ellan liakkoun fell asen Ilia oulerki d'elàrban h\ad ühen ikheleen Aroumi bou ezzad ik’ouan ahath ibna d'eg the' mourlh cnsen Tharousi thisthletha Ibnael bord] n essoit’an Ihemma isken J! ed’d’raâ machi d es el h’asan gedha issen Tharoua el bariz ouin iâcan ar th id t’aiben (1). L’auteur de ces chansons est S i Mohammed Saïd ben Ali Cherif, agha des Illoulen Ousammer et des Beni Âïdel. (2) La rime est à une lettre; c'est celle que les Arabes appellent ✓ “fc * »* * . On ne rencontre guère que cette espèce de rime dans les poésies kabyles. (3) Ar th id f/aiben. Les Zouaoua diraient : a th id t'aiben. http:/ /e-mediatheque@mmsh.univ-aix.fr [8-16354 FR] Corpus | Langues

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