A. Hanoteau : Essai de grammaire kabyle : renfermant les principes du langage parlé par les populations du versant nord du Jurjura et spécialement par les Igaouaouen ou zouaoua||suivi de notes et d'une notice sur quelques inscriptions en caractères dits Tifinar' et en langue Tamacher't

01 iti asen - ma our d omin ad’ennas ■ Dis à eux si ils ne viennent pas, c’est nous (qui) irons. ass agi œk’lür' nek’k'im azekka Aujourd hui nous voilà nous sommes assises 3 demain nouggad 1 anneh’as nous craignons nous serons malades. — 307 — ‘ X III ------------------- o ! I ; *jl> ¿ÎAil J^LJt ^ J \" C ^ _ L TUADTJCTION 0 clair de lune qui pénètres dans les plus petites ruelles, porte-leur les compliments de leurs amies; di,s-leur que s'ils ne viennent pas, c'est nous qui irons les trouver; aujourd'hui nous sommes bien portantes, demain nous craignons d’être malades. XIV C h a n s o n rouh’ a oulid'i our felli Va, ô mon enfant ! ne sur moi sendou (lJ aman . fais pas devenir beurre l ’eau. (1) Scndott est l ‘impératif de la forme d'habitude .du verbe »end, qüi signifie : battre le beurre, faire devenir beurre. Send aman veut donc dire : battre l'eau pour la faire devenir beurre, c'est-à-dire : faire des efforts inutiles. http:/ /e-mediatheque@mmsh.univ-aix.fr [8-16354 FR] Corpus | Langues

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