A. Hanoteau : Essai de grammaire kabyle : renfermant les principes du langage parlé par les populations du versant nord du Jurjura et spécialement par les Igaouaouen ou zouaoua||suivi de notes et d'une notice sur quelques inscriptions en caractères dits Tifinar' et en langue Tamacher't

aîlagi ai d’ehnàna b ouaomlen agi C’est celle-ci (qui est) la signification de ces paroles : ouia isâan at’as imeddoukal r’our es at’as our'ilif. Celui ayant beaucoup d’amis, chez lui beaucoup de soucis. m c -* I ^ x t ^ \ ** ' I > * c * Vl I « A C ' C L l çL*J Lr,\} (>1 ; , v-J c ' c ■ - t 6 6 É > 'I t ? c . ✓ - C. « t C f c , ' j s r C ^ jl-C1^-—^ |\ )^X-WV ÿ —\—J^ 5v-<yv jLt*—)i3*w t / C ✓. C* £ i Y o U i i t;i ÿ j ' J L1U JIÎ j ^ j t D Î * » £ f C_ ■■' „ S £ l-A-l-C» / l^J i . »*1<*—£> j _5 ] Î .Lx.wO yj a , . , ^ ^ l/ ^ (j . TRADUCTION Une gazelle tomba un jour malade. Les animaux ses amis vinrent la voir, et mangèrent toute l'herbe, verte ou sèche> qui se trouvait aux environs. Lorsque la gazelle releva de maladie, elle chercha quelque chose à manger, mais elle ne trouva rien -et mourut de faim. Voici le sens de cette fable : Celui qui a beaucoup d’amis a beaucoup de soucis. http:/ /e-mediatheque@mmsh.univ-aix.fr [8-16354 FR] Corpus | Langues

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