Arsène Roux : Récits, contes et légendes dans le parler des Beni Mtir.

Cn ne veut pss terminer ce bref avertissement sens remercier vivement tous ceux qui ont permis la rédaction et la parution de ce premier recueil. Parmi eux figurent en première place, tous nos vieux amis 3eni-Mtir : Omar ou Saïd, Assou ou Saïd, El G-hazi ou Drao, Abid ou Tlansour, Mo ha ou Abid, Saïd ou Brahim, de la fr8otion des Ai‘t Nêmen, I&mley Saïd ben Ab- de 1* TY*&c\i-On des Ait 3ourzou:'n, Lloha ou Bouâzza, de l«i TTtef^l^ïî Æes Iq-edcLsren,, Tous les récits, plus ou moins £<b?oJ_t*ement «oompos-és, plus ou moins pittoresques ou élégants, .sont de leur cru. Lion ï-61e à lea ’civrîiscrîî*«- le plu*& fldèlenent p©&sit>le. Beaucoup de ces textes ont déjc., été utilisés de 1920 à 1936, tant dans les cours oublies de berbère de Meknès et d*Azrou, nue dans les cours p-ac coarr-e^porux©»«©. de l'institut Ê' ô A E^tiïÜCS I.l^lV>cr»incs>/. Rabat, le 30 octobre 194-2. http:/ /e-mediatheque@mmsh.univ-aix.fr [F-7] Corpus | Langues

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