Belkassem Ben Sedira : Cours de langue kabyle. Grammaire et versions

— LXVIII — le courant de l’année dernière. Je n’aurais pu faire des recherches si longues et si difficiles, s’il lie m’en avait facilité le moyen par un subside généreusement octroyé. Je tiens donc à lui renou­ veler l’expression de mes sentiments de graii- tude. Qu’il me soit permis de remercier aussi M. le recteur Jeanmaire, qui m’a proposé pour cette mission, comme il m’avait déjà présenté au choix de M. le Ministre de l’instruction pu­ blique pour un cours de kabyle à l’École des Lettres. Je terminerai en signalant à leur bienveillance plusieurs personnes, anciens élèves, condisci­ ples, amis ou étrangers, qui se sont empressées de me prêter leur précieux concours. Tout d’a­ bord, des services exceptionnels m’ont été ren­ dus par un homme de valeur, dont on apprécie certainement les capacités et l’habileté dans l’art difficile de diriger les indigènes: c’est M. Demon- que, administrateur de la commune mixte de Fort-National, ancien professeur de l’enseigne­ ment secondaire. Je ne dois pas moins de reconnaissance à MM. de Bigar et Samson, administrateurs ad­ joints au Djurdjura, dont je ne saurais trop louer l’ affabilité et la complaisance; à MM. les inter­ prètes judiciaires : Mohammed Arezki, que j ’ai eu le plaisir de rencontrer aux Beni-Yala, chez son parent Si Ben Djeddou, et qui vient de rece­ voir la récompense de ses services par un avan­ cement mérité; Mohammed ben Hassen, d’Aïn- El-Hammam, qui le remplace à Alger, avec la réputation d’un traducteur habile, et qui est http:/ /e-mediatheque@mmsh.univ-aix.fr [8-16303_FR] Corpus | Langues

RkJQdWJsaXNoZXIy NDM3MTc=