Belkassem Ben Sedira : Cours de langue kabyle. Grammaire et versions

— ccn — achou ikhd’em Iflani qu’a fait un tel ? tsoufin (1) ag oufa (2) ïoun r ’oures, inr’a ih c’est en trouvant quelqu’un chez lui qu’il l’a tué; amek ith inr’a comment l’a-t-il tué? tsiitha (1) ith iououeth ith inr’an (2) c’est le coup qu’il lui a donné qui l’a tué. Cette dernière phrase peut se tourner ainsi: s thiitha ith iououeth ag emmouth (2) c’eêt du coup qu’il lui a donné qu’il est mort. Il le précède encore quand il est complément d’un autre verbe, comme lorsqu’il est régi par une préposition. Ex. : ifhem imiren aclhlam idhlem thamar’- bount n tmeVt’outh is il comprit aus­ sitôt l’injustice qu’il avait commise envers sa malheureuse femme. je comprends le kabyle ; mais je ne parle pas comme il faut. (C’est comme s’il y avait : ouamma aPiam quant à l’action de comprendre, etc.i) (1) Le mot tsoufin est mis pour d'ihoufin. (2) Les expressions ag oufa, ith inr’an, ag emmouth sont mises pour aï ioufa, ai ih inr’an, aï immouth. http:/ /e-mediatheque@mmsh.univ-aix.fr [8-16303_FR] Corpus | Langues

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