Mawerdi : Les statuts gouvernementaux ou règles de droit public et administratif

TABLE ANALY'fIQUE INTRODUCTION •..•.•. : ... , - . . . . . .. ....•.•....•......•.....• .. .•. V PRÉFACE DE L AUTEUR .•..•. ' .' •...•. ' ••......•. . . . .•.• 0 • •• • 0 • • 1 CHAPITRE I. - Du contrat d'imâmat. ... 0 ••••• , ••••••• 0 • 0 ••• • 0 • • • • ~ L'imâmat est-il de nécessité rationnelle ou canonique? C'est un devoir de solidarité: ceux qui ont à choisir l'imAm doivent réunir certaines conditions, tout comme ceux qui sont aptes à le devenir en doivent réunir d'autres, et notamment être Korey– ohites (p. 5-8). - L'imâm acquiert ce rang par l'élection ou par le choix d'un prédécesseur 0 Opinions diverses sur le nombre d'élec– teurs nécessaire (p. 9-10) .- Le choix, qui doit être accepté par l'élu, s'impose au peuple. Raisons pouvant militer en faveur de l'un de plusieurs candidats. Con testations possibles entre eux: distinc– tion entre le pr~.réré et le préférable. Un imâm peut-il s'imposer par lui-même et nécessairemGnt sans qu'il soit choisi? (po 10-13). - La coexistence de deux imâms est-elle possible? Comment reconnaître le vrai? (p. 14-15). - L"attribution de cette qualité par l'imâm prédécesseur est unanimement reconnue; mais cette désigna tion s'împose-t-elle sans aucune intervention quelconque des électeurs? Opinions diverses sur la désignation de son père ou de son fils faite par l'imâm régnant (p. 16-17). - Dans quel délai doit a voir lieu l'acceptation de l'imam désigné? Cel ui-ci peut-il être révoqué ou démissionner? Peut-il, alors qu'il est absent, être désigné, ou, n'étant lui-même que désigné, se choisir un héritier? L'affaire du Conclave qui suivit la mort d'Omar prouve que l'imAm peut désigner plusieurs héritiers, entre lesquels les électeurs choisissent. Les électeurs délégués par l'imAm pour choisir l'un de plusieurs candidats, ne }Jeuvent, sauf autorisation, procéder à ce choix du vivant de l'imâm déléguant. Celui-ci peut désigner deux ou plusieurs héritiers éventuels en substituant le second au premier qui viendrait à prédécéder, ce qui s'est présenté sous les Omeyyades et sous les Abbasides ; n1ais celui qui monte sur le trône recouvre la liberté de choisir lui-mêrne qui il veut (p. 18-28). - Tout le peuple doit connaître qui est l'imAm, mais la connaissance nominative et personnelle de celui-ci ne s'impose qu"aux électeurs qui lui prêtent le ~erment de fidélité. Origine de son nom de khalife (p. 28-30). - Enumération des dix devoirs qui lui incombent; vers traitant de ce ujet (p. 30-32). S'il les remplit, i e peuple lui doit obéissance et concours, devoirs dont il peut être délié par la survenance au khalife de défauts de moralité ou d'intégrité physique, qui sont successivement expo– sés (p. 33~38 ) . - Que décider dans le cas où rimâm tombe sous la tutelle d'un de ses auxiliaires, ou est fait prisonnier, soit avec soit e-Médiathèque | Droit musulman | MG_006

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