Granqvist, Hilma | Naili, Falestin

Granqvist, Hilma 611 carcan du comparatisme britannique sont en partie responsables du manque de réussite professionnelle de Hilma Granqvist. Or c’est précisément cette rupture qui rend son travail moderne et qui justifie, dès les années 1980, un engouement renouvelé pour son œuvre. Dans son dernier livre, publié en 1965, elle définit par ailleurs son domaine de recherche en tant que « Palestinian Muslim anthro- pology » , s’éloignant ainsi clairement du champ sémantique des orientalistes. Falestin Naili ➤➤ Anthropologie, Bible, genre, mariage, médecine, orientalisme mots-clés Anthropologie, enfance, famille, femmes, généalogie, Palestine Références Naili, Falestin, « L’Œuvre de Hilma Granqvist : l’Orient imaginaire confronté à la réalité d’un village palestinien », Revue d’études palestiniennes , 105, automne 2007, p. 74‑84. Naili, Falestin, « Hilma Granqvist, Louise Baldensperger et la “tradition de rencontre” au village palestinien d’Artâs », Civilisations , 57, 1 er -2, déc. 2008, p. 127‑138 [http:// civilisations.revues.org/index1201.html#abstract (mis en ligne le 29 déc. 2011)]. Seger, Karen (éd.), Portrait of a Palestinian Village: the Photographs of Hilma Granqvist , Third World Centre for Research and Publishing, Londres, 1981. Suolinna, Kirsti, « Hilma Granqvist: A Scholar of the Westermark School in its Decline », Acta Sociologica , 43, 4, 2000, p. 317‑323. Zilberman, Ifrah, « Ethnographic Notebook. Hilma Granqvist and Artas: a Finnish Anthropologist in Israel », Cambridge Anthropology , 15, 1, 1991, p. 56‑69.