Arsène Roux : Récits, contes et légendes dans le parler des Beni Mtir.

LIV. . . Ur-da itteddu &of eddis;t ¿as ifigôÿ.. "No va sur le ventre que le serpent"'. (G.à.d. :Il ne convient? pas à l’homme de ramper, d’etre vil.) NOTE: nvef-eddist est mis pour &of tedist après assimilation de la sourde t_ par la sonore correspondante d qui redoublée passe à ¿d. LV. Ur-da ittebbi umwer afus-isKLs g£s i-lgsim, "La faucille n’entaille la main qu’au novice(ou maladroit). LVI. Mes ur-t_yid sa ur-te&£widd i-sa. "Si tu n ’as rien fait, tu ne crains rien". ■ NOTE.:Le v. gowed s’emploie avec des rô^.ind. iggwed-as,d’où la présence de la préposition i_ "à". - J . LVII. Mes-ur-illi unebbad 1—tyemmi lia dik-s tttiirarr imeksawen. "S’il n ’y a pas d’autorité dans le douar les bergers s’y amusent" (Comparer au proverbe français:"Quand le chat n ’est pas là les souris dansent’.') . : V- •. . LVIII. ; • • ; L■' O Q ^ Meqqay imun usabar kku-yun t-titt-ens ¿¿¿-^¿yul-ens. ’ "Quoique la caravane forme un„tout(soit réunie) chacun à l’oeil (son oeil) sur son ane"f(C.à.d.:"Chacun, dans toute collectivité, a d’abord souci de ses intérêts particuliers".) '. * NOTE: Kku-yun t-titt-ens mis pour kku-yun d-titt-ens,après assimilation du d par le t et passade des deux spirantes t en contact à l’occlusive t redoublée. Kku-yun-d-titt-ons signifie litt-: chacun avec son oeil. Cet emploi de J.a préposition ;d "avec" est courant pour traduire l’idée de possession. LIX. v ¿Ieqqay yubennu ubennay irra-_t bab 0 n-t_addart. "Quoique le maçon sache bât ir(litt“:.bâtisse)le maître de la... :V - 18 - http:/ /e-mediatheque@mmsh.univ-aix.fr [F-7] Corpus | Langues

RkJQdWJsaXNoZXIy NDM3MTc=