Boulifa Si A. Saïd : Une première année de langue kabyle (dialecte zouaoua) : à l'usage des candidats à la prime et au brevet de kabyle

IL Ex. : D'baba a ï d 'amr 'a r r ' e f babak. C’est mon père qui est plus âgé que* ton père. D ’emmi ag essenen ad' imeslaï s thefr ensisth r 'e f emmik. C’est mon fils qui sait mieux parler français que ton fils. D'oultemas ag zïnen r 'e f oultema. C’est sa sœur qui est plus belle que la mienne. P lus . . . que, mieux que, se rendent par akther avec idée de quantité, et akhir avec idée de qualité, qui pré­ cédant un substantif le mettent en rapport d'annexion. Ex. : D'emtni ag essenen ad' imeslaï s thefr ensisth akhir n emmik. C’est mon fils qui sait parler français mieux que ton fils. Me i l leur que peut se traduire par les verbes elhou , être bon, i f surpasser, er ' leb , être supérieur, vaincre, d ' iâa l i , être bon, e lhou , être bon. Ex. : D ’chikh ennàr ' ag elhan r 'e f ch ikh ensen . C’est notre maître qui est mei i leurque leur maître. Pire, plus mauvais, se rend par d/ir, r ' e f ou d'eg . Moins que, compa ra t i f d’in fé r io r i té , se traduit par aq'el b , g ou n devant un substantif ou un pronom affixe des noms (cf. akther , akhir ) . Ex. : Issen aq'el b oui idh , 11 * soit moins que les autres. I I I . S u p e r l a t i f * En kabyle, le superlatif se rend de la même manière que le comparatif. La préposition d'eg ou r ' e f a alors le sens de p a rm i , en t re . — 173 — http:/ /e-mediatheque@mmsh.univ-aix.fr [8-16269 FR] Corpus | Langues

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