Boulifa Si A. Saïd : Une première année de langue kabyle (dialecte zouaoua) : à l'usage des candidats à la prime et au brevet de kabyle

I r ' i r a n . ou r than . ia'rq'ab. ig ra n . th im iza r . /. 1 - thibh ' ir in . Pourquoi ne t’es-tu pas lavé les mains ? — Ton bur­ nous et ta gandoura sont sales. — Dis à ta mère de te les laver demain. ■— Où avez-vous trouvé ce couteau ?— 11 Ta volé. — Va dire à ton père de venir. — J’ai recom­ mandé pour qu’on te prépare le mulet ; tu iras m'ache­ ter trois ki los de pain et deux kilos de viande de mouton. — Cours me chercher une cruche d’eau de cette fontaine. — Lave la cruche avant de la remplir. — Approche que je te dise quelque chose. — Mes mains sont lavées au savon. — Combien as-tu acheté ce mouton %— Quand l’as-tu acheté ?— Où est ton père? — 11 est allé aujour­ d ’hui au marché m ’acheter des souliers, une calotte et un pan ta lon .— Ce burnous vaut cinquante f r a n c s .— Non, je ne te crois pas. — Cet enfant a bu tout le lait qui était dans la bouteille de ton n e v e u .— Où l'a-t-il trou­ vée ? — Ton fils n’a pas pu marcher. Il est resté en arrière dans ce village, parce qu’ il est indisposé. Je lui ai donné de l ’eau et du citron, il a refusé de la boire. — Ton fi-ls est monté ce matin sur la table, il a volé du papier et de l’encre au maître. — C'est pourquoi il l’ a mis en retenue ; à ce sujet le maître veut te voir. — 161 — Il l I s - ' A * ourthi , aa ' rq 'ottb , i g e r , thamaz i r th , th i b l ï i r th , caverne, grotte, champ de figuiers, champ de labour, champ ensemencé, verger, champ, jardin, potager, T h èm e XX I I I 11 http:/ /e-mediatheque@mmsh.univ-aix.fr [8-16269 FR] Corpus | Langues

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