Boulifa Si A. Saïd : Une première année de langue kabyle (dialecte zouaoua) : à l'usage des candidats à la prime et au brevet de kabyle

jusqu ’à ce qu'il l’ait tué dans un ravin (¿r 'âer). — La maison de ton oncle a brûlé hier soir. — Il a parlé avec nous comme si nous étions ses fils. — Ils ont ri comme s’ ils n’avaient jamais vu ou entendu pareille chose. — Taisez-vous, vous nous cassez la tête avec votre bavar­ dage (ameslaï ) , on se croirait être dans un marché ar abe. . — 142 — QUARANTE-QUATRIÈME LEÇON Vocabulaire Le V i l l a g e ( f i n ) marché, plur, lesouaq ' . e r rah ’ba 3 place du marché, Idjenan mbaïLeky jardin public, akhkham nechchera!\ palais de justice, eççedafïy aa'chot ich , thazeq'q'a , Ih'abs , Ih'emmam, asa r id j , Iq’ahoua , tseberna , lfendaq\ Ikour i , terrasse, — cabane, gourbi, maison en pierre, — prison, — bain, — bassin, caie maure, — taverne, — remise, — écurie, — er rah! bath. Idjenanath mbailek. p. r. e ç çedou l ï . p. r. th i se r 'ou in . IK abous. l i ïam am a t h . p. r. laq 'haoui . tsebaren . le/nadeq \ t k o u a r i * E x em p l e s (su i te ) L ’expression ma ou lach , qui ne présente dans l 'emploi aucune difficulté, signifie exactement « s ’ il n’y a pas » ou sinon. http:/ /e-mediatheque@mmsh.univ-aix.fr [8-16269 FR] Corpus | Langues

RkJQdWJsaXNoZXIy NDM3MTc=