Boulifa Si A. Saïd : Une première année de langue kabyle (dialecte zouaoua) : à l'usage des candidats à la prime et au brevet de kabyle

— 113 — ar ' i las panthère plur. i r ’oulaSy Hef ou il/. sanglier, porc, — üfan, thar*ouzalt^ gazelle, — p. r. ouchchen , chacal, — ouchchanen , abarer\ renard, — ibourar\ iffîs, hyène, — ifftsen, aouthoul, l ièvre, --S iouthal , a r rou i j porc-épic, — a r rou ien „ inisiy hérisson, — inisouen , thad’r'ar'afà, belette, — p. r. (p.usi té) ibkiy singe, -- ibkatiy ig i rd ’i* raton, putois, izird! Lan , aferdJa3 souris, rat, ■— iferdtïaïeriy t ' irel l i l , chauve-souris, — t i r e l l i la t h . T hème XV A qui est ce cheval ? — Celui-ci est à moi, le tien est à récurie. ( ikou r i ) . — Pourquoi ton père a-t-il vendu son cheval gris ?— Il l ’a vendu parce qu’ il ne peut plus (pas) travailler. — Combien l’a-t-il vendu ? — Je ne sais pas, il ne m’en a pas parlé (sur lui ) . — Montre-moi ton livre, je te montrerai le mien. — Je n’ai pas ici le mien, il est à la maison. — Qui a attrapé cette souris? — CJest votre chat qui Ta attrapée, le nôtre ne peut pas en (les) attraper parce qu’il est aveugle. — J’ai vu (ze r -ser i r ' ) un chacal saisir le mouton de ton oncle. — Mon père a attaché son cheval dans la cour de l ’école. — Il n’y a pas de lions dans cette forêt ( th i s g i ) . — Notre chien a attrapé un l ièvre et un hérisson. — La panthère est jaune et noire c’est-à-dire (me/ïsoub) bigarrée. — Mon père a blessé un sangl ier. — Sais-tu où demeurent les ani­ maux sauvages et les animaux domestiques ? — Quel est celui d'entre &ux qui est le roi ? — Quel est celui qui est le plus rusé d’entre eux ? — Le plus gros d’entre eux est l ’éléphant, le plus rusé est le chacal ou le hérisson. 8 http:/ /e-mediatheque@mmsh.univ-aix.fr [8-16269 FR] Corpus | Langues

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