A. Hanoteau : Essai de grammaire kabyle : renfermant les principes du langage parlé par les populations du versant nord du Jurjura et spécialement par les Igaouaouen ou zouaoua||suivi de notes et d'une notice sur quelques inscriptions en caractères dits Tifinar' et en langue Tamacher't

Exemp les : ouin ioumi efkif id'rimen , celui à qui j'ai donné de l'argent. thin ioumi thennidh, celle à qui tu as dit. ouid’en ioumi irnela, ceux à qui il a montré. thid’en ioumi ifkay celles h qui il a donné. i « Lorsque le relatif enni, lequel, clc. se trouve logique­ ment placé sous rinfluence d'une préposition, on met celle-ci ordinairement après lui. Exemples : aâoud’iou enni r’ef erkebef, le cheval lequel sur je suis monté (le cheval sur lequel je suis monté). argus enni id’ d ousif, Thomme lequel avec je suis venu (rhommê avec qui je suis venu). ousou enni r ’ef it ’t'es, le Lapis lequel sur il a dormi (le tapis sur lequel il a dormi)., aklikham enni seg ejfefer\ la maison laquelle de je suis sorti (la maison de laquelle je suis sorti). Ihemd’int enni seg d iousa , la ville laquelle de il est venu (la ville d’où, de laquelle il est venu). irgazen enni fou r eichir\ les hommes lesquels chez j 'ai mangé (les hommes chez lesquels j'ai mangé,). thamourlh enni fer f a rouh’e f , le pays lequel vers j'irai (le pays dans lequel j ’irai) . Le relatif enni se supprime très souvent; ainsi, Ton dira : aâoud’iou fe f erkebef, le cheval sur (lequel) je suis monté. — G7 — http:/ /e-mediatheque@mmsh.univ-aix.fr [8-16354 FR] Corpus | Langues

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