A. Hanoteau : Essai de grammaire kabyle : renfermant les principes du langage parlé par les populations du versant nord du Jurjura et spécialement par les Igaouaouen ou zouaoua||suivi de notes et d'une notice sur quelques inscriptions en caractères dits Tifinar' et en langue Tamacher't

Les noms dont la première consonne est entre deux voyelles, c-onune uiisi, hérisson, igider, aigle, nepiennent pas, en général, le G au génitif. Exemples : isennanen m m , nennanen in i s i aoun , ajüh'nidh i z i rd i , i j ah ’nadh izirdiaortn , afrioun igider, afrioun igoudar , akhkham inebgi, akhkham inebgaoun , ilhran igenni , ?7/j.ra» igenonan , am-f/w i r ’ezraii, ichehnan i f e k r an , igelman i r ’i d ’en, rieh üiouanen, les piquants du hérisson, les piquants des hérissons, la queue du raton, les queues des râlons, les al l'es de l'aigle, les ailles des aigles, la maison de l'hôte, la maison des hôtes, les étoiles du ciel, les étoiles des cieux. l’eau des ruisseaux, les écailles des tortues, les peaux des chevreaux, les plumes des milans. GÉNITIF PAR N DANS LES NOMS FÉMIN INS (1) Le génitif, dans les noms féminins singuliers et pluriels, est toujours indiqué par N, prononcé, suivant les besoins de l'euphonie, en ou ne, et placé devant le th initial de ces noms qui a toujours alors le son dur* (!,): Chez les Touareg, l ’N esfc la seule préposition employée pour le génitif. http:/ /e-mediatheque@mmsh.univ-aix.fr [8-16354 FR] Corpus | Langues

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