A. Hanoteau : Essai de grammaire kabyle : renfermant les principes du langage parlé par les populations du versant nord du Jurjura et spécialement par les Igaouaouen ou zouaoua||suivi de notes et d'une notice sur quelques inscriptions en caractères dits Tifinar' et en langue Tamacher't

— 380 — formé cle latnel* ou tamèt’t’out, femme- Dans les deux copies de Finscriplion que j'ai entre les mains, ce mot est écrit 13 3 - J"ai rétabli au commencement le + , t, qui manque évidemment h la prononciation. I r, ♦ ' 3f P a r t i e f ligne FUJI • I I I , ouanek, c'est moi (déjà vu). • 3 3 X I ■ » Agmama, nom propre d’homme, formé du mot ag, fils, et de marna , c’est-à-dire : fils de marna (1}. On remarquera que la lettre X ] , indiquée dans 1al­ phabet comme ayant la valeur du ~ arabe ou de notre dj français, a ici le son du ( j . II , innan, ayant dit, disant, participe masc. sing. du verbe in i , dire, formé en ajoutant un n à la 3e pers. masc. sing. du prétérit inna. I A I! I + , tihouledin , nom féminin pluriel de tahouledt, qui se prononce tahoulet , salutation, salut ; nom verbal de la racine ehouled , saluer. On dit, par exemple, ehouledef as s four ek. J'ai salué à lui de chez toi (je Fai salué de la part). + à , i cheît aux filles, i est la préposition du datif, qui se supprime souvent. Ainsi, on peut dire également tihouledin chet, saints aux filles. chet est le pluriel de oult, fille. C’esit un des pluriels arbitrairement formés qu'on rencontre en lamâcher't. I I I 3 1 , Hamelen, nom de localité. La préposition n du génitif, qui devrait se trouver avant ce mot, est supprimée. . . _ L (i) Dans le langage courant, Ag marna veut dire: frère (litt. : fils, , de la mère). http:/ /e-mediatheque@mmsh.univ-aix.fr [8-16354 FR] Corpus | Langues

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