A. Hanoteau : Essai de grammaire kabyle : renfermant les principes du langage parlé par les populations du versant nord du Jurjura et spécialement par les Igaouaouen ou zouaoua||suivi de notes et d'une notice sur quelques inscriptions en caractères dits Tifinar' et en langue Tamacher't

fréquentes. Mais il est à remarquer que la pluparL de cet! noms, ne caractérisant aucun sexe, n ’ont pas de masculin. Exemples : t ■ •>v r (lames, feu. thizi, col, dépression de terrain. thiirsi. nœud. lltbj/i, forêt, broussailles. JhW L trou. Ihiziri, clair de lune. thara^ , vigne. thala, fontaine. lima, foie. thagersa, soc de charrue. \ ■» thamr'era, noce> thamegra, moisson. thouser,, vieillesse. themelellj blancheur. therzeg , amertume. tkefeses , légèreté. thùennji, envie, jalousie. Les exemples,, qu’on pourrait multiplier, montrent qu’en ’ kabyle, comme dans les autres langues, le genre féminin n’est pas exclusivement attribué aux êtres femelles : l’usage seul peut apprendre de quel genre est un nom. Mais lorsqu’on entend prononcer un nom kabyle, il ne peut y avoir incertitude sur le genre. S’il commence par http:/ /e-mediatheque@mmsh.univ-aix.fr [8-16354 FR] Corpus | Langues

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