A. Hanoteau : Essai de grammaire kabyle : renfermant les principes du langage parlé par les populations du versant nord du Jurjura et spécialement par les Igaouaouen ou zouaoua||suivi de notes et d'une notice sur quelques inscriptions en caractères dits Tifinar' et en langue Tamacher't

loi, qui ai dilT: Je réponds du maître du bouclier parmi les femmes. » Les mots oua nck, ceci moi, sont sous-entendus au commencement de la phrase. Cette hypothèse est justifiée par les autres inscriptions. 3e P a r t i e (ligne FGH ) i.n i i !•+ u •:n xi •: i : chet lihouledin iimanAgmama uek oua auxfilles les salutations ayant dit Agmama moi ceci I II U i Hamelen d’Hamelen. ' TRANSCRIPTION Oua nek Agmama ïnnan lihouledin i chet Hameleni C’est-à-dire : .« C’est moi, Agmama, (]ui ai dit : Salut aux filles de Hamelen ! » Examinons maintenant chacun des mots en particulier : l rt P a r t i e ♦ , oua ou aouo, ceci, ce que, pronom démon­ stratif. ' p , •• I , nek} moi, pronom personnel isolé de la l re per­ sonne. * cl • , it’eicha, nom de femme. C'est le mol arabe Aïcha En général, dans les noms propres em- http:/ /e-mediatheque@mmsh.univ-aix.fr [8-16354 FR] Corpus | Langues

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