A. Hanoteau : Essai de grammaire kabyle : renfermant les principes du langage parlé par les populations du versant nord du Jurjura et spécialement par les Igaouaouen ou zouaoua||suivi de notes et d'une notice sur quelques inscriptions en caractères dits Tifinar' et en langue Tamacher't

inna i as ougellid' nia k idhelmen inna i as nekhi sévir* Dit à lui le roi: Qui toi ayant lésé? Il dit à lu i; Moi fa i vu tivva. v iïïii en tëniazivt a,v'erîb elii ininwulen un écrit sur la porte de la ville: L'étranger lequel étant mort il is 0 1 ikefen ougellid' a iefk lemaniin dans elle, ensevelira lui le roi, il donnera quatre-vingts en tououk'ü leh'ak ellekefen n es nekki v'ikka esVhak’k’cv ’ d’ once prix du linceul de lui. Moi maintenant f a i besoin de seUîn en louüuk'it ad’ ii lent tefket iv’ emmoutev' soixante d* once, à moi el'les tu donneras ; lorsque je serai m.orl, ouv i tefkit r'ir àchevin en lououk’it tu ne donneras pas pour moi si ce n’est les vingt d* oiice, elii. ibek’an lesquelles restant. ■ idhesa oufieiiid' v' ouaoual ennes inna iasen efkat as Rit le roi de la parole de lui, il dit à eux; Donnez à lui settln en tououk'it iouv'i tent ouvgaz ¡flou soixante d ’ once. Prit elles ¡l'homme, il partit. r ikha ar ïian ou-ass ibedd essat ougellid ’ Il resta jusqu'à un jour, il se tint debout devant Je roi v' ouv*avas inna i as nekki ledhelmev* inna i as ougellid* sur le chemin, il dit à lui : Moi j'ai été lésé. Dit à lui le roi : ma k idhelmen inna i as nekki sévir* idhegam aonqerratn (0 Qui loi ayant lésé? 11 dit à lui : Moi j ’ai vu hier le saint sid na Aissa iou s Emmeriem feïl as eeealat on Seigneur notre Jésus iils d’elle de Marie, sur lui la prière et esselam inna ii our va temmetet r’ir r ’ ouaffîan le salut, il a dit à moi : Tu ne mourras pas si ce n ’est dans feau. nekki v'ikka e$th'ak’k’ev> àcherin en tououk*it elii ibek*an 4 . ” ■ Moi maintenant j ’ai besoin des vingt d’once lesquelles restant r* eUCaW ellekefen inou ir ’ emmouter" v'ikka sur le prix du linceul de moi, lorsque je serai mort maintenant our t testh’ak’k’iv’ je n ’aurai pas besoin de lui. idhesa ougellid ’ s tikevkas (-) ennes iskev as ennafak’a . Rit le roi des ruses de lui, il fit à lui une pension. (1) Aougerram s’applique à tous les saints ou marabouts. (2) Les Zouaoua connaissent encore le mot ükerkas, mais ils ue remploient plus. C'est une expression qui a vieilli et est remplacée par l ’arabe. http:/ /e-mediatheque@mmsh.univ-aix.fr [8-16354 FR] Corpus | Langues

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