A. Hanoteau : Essai de grammaire kabyle : renfermant les principes du langage parlé par les populations du versant nord du Jurjura et spécialement par les Igaouaouen ou zouaoua||suivi de notes et d'une notice sur quelques inscriptions en caractères dits Tifinar' et en langue Tamacher't

m — idda (U ouriaz a ouv v*er es cha aliter z %<7 Était homme cet non chez luichose, plus ■ que oud'aï nhar esscbth irk’a ajeddid* g iidjen oubrid' (*) un juif le jour du samedi. Il rencontra le roi dans un chemin, ibedd fa r s ibd’a ik't’a-r il se tint debout vers lui, il commença il dit à plusieurs reprises as netch nicdhloutn iyina as oujeddid' oui ch idhelnien à I ul : Moi lésé. Dit à lui le roi : qui toi ayant lésé ? inna as netch zerir’ thiraouran teth d*î thouourth en Il dit à lui : Moi j ’ai vu un écrit on a écrit lui sur la porte de thendint k’aâ elberrani ouin.* r ’a immethen d’i thendmt a la ville : Tout étranger lequel devant mourir dans cette ville, ad1 as ifig richfen oujcddidr ad as iouch tfmnaniin à lui fera un linceul le roi, à lui il donnera quatre-vingts ouh’ia. h’ah' en dechfen ennes netek ckhser ' rekhth l:* onces, prix du linceul de lui. Moi j ’ai besoin temps ou settin ouk'ia ad* ai thent touched nhar celui-ci de soixante onces, à moi elles tu donneras ; le jour f a emmethef ad’ ai thouched rfir âcherin ik'k'imen je mourrai à moi tu donneras, si ce n’est les vingt restant. idhcltach oujeddid ' zi dfejemahpth (4) ennes inna asen oucheth Rit le roi de la parole de lui, il dit à eux : Donnez as settin ouk’ia ichsi thent ourlas irouti à lui soixante onces. Prit elles [’homme, il partit. cha (»J n oussan ibedd ezzathioujeddid ' d'e<} Chose de jours, il se tint debout devant Je roi, sur oubrid' inna s netch méditionm inna s oujeddid' le chemin, il dit à lui : Moi lésé. Dit à lui le roi : oui ch idhelmen inna $netch zerir ’ idh ennadh (G) Qui toi ayant lésé? Î1 dit à lui : Moi j ’ai vu hier {1} îdda, pour ilia. Le son du D, daas ce mot, se rapproche de DJ. (2) Le B, dans ce mot, se proaon.ee presque comme un V. . (3) Rekhth, , est, je pense, l'altération de l ’arabe . (4) D'ejemah'th, pour Xhojomah’th, le TH initial du féminin ayant été changé en D’j par euphonie, après le; son du Z. Ce mot est, sans doute, l ’altération de qui, en arabe usuel, signiMe conversation, parole. r (5) Cha est l ’arabe chose, altéré. Les Zouaoua diraient : kera h oussan. ~ (6) Dans d’autres pays, idh ennadh. signifie avant-hier. http:/ /e-mediatheque@mmsh.univ-aix.fr [8-16354 FR] Corpus | Langues

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