A. Hanoteau : Essai de grammaire kabyle : renfermant les principes du langage parlé par les populations du versant nord du Jurjura et spécialement par les Igaouaouen ou zouaoua||suivi de notes et d'une notice sur quelques inscriptions en caractères dits Tifinar' et en langue Tamacher't

- 303 — irkeb inna ias i UU s ejjef e([ il monta à cheval. Il dit à elle à la lille de lui: sors ici akcrn zerer’ nck ad'rouh’er’ theiïer’ ed je verrai loi, moi je partirai. Elle sortit vers lui, iddem ils irouh’ rekben il enleva elle, il partit. Montèrent à cheval ait lemd’inl inna iasen ck’k’imcth les gens de la ville. Il (Mahammed) dit à eux: Restez, ad’nek eg essenen aâoud’iou iou c’est moi ce qui connaissant le cheval de moi. netsa ili'k’im d’a ilsrouour ithets Lui il resta il pleure, il ne mange pas habituellement our isess uoun ouass ilsa id’erbalen (l* il ne boit pas habituellement. Un jour il revêtit les derbals. irouh’ iour’al r’er thcmd’int ougellid ’ iroumien 1 partit, il retourna vers la ville du roi des chrétiens. iioun idli insa s eddaou echchedjera d’i el k’ifar Une nuit, il coucha sous un arbre dans le désert. ioufa sin ledhiour ensan s oufella s 1 trouva deux oiseaux passaient la nuit en haut de lui d’a hadderen gar asen inna ias iioun (de l’arbre), ils causent entre eux. Dit à lui l’un i ouaiedh achou th ouagi d iousan r’our nar’ à l’autre : Quoi lui celui-ci étant venu chez nous ? inna ias d’ Mah’ammed ben Essolt’an Il répondit à lui : C'est Mahammed ben Essoltan. therouh’ as lhamel’t’outh is lemmer r'a iaoui Est partie à lui la femme de lui, si il emportera izouran n cchedjera agi ad’islenfâ isen des racines de cet arbre il tirera avantage d’elles. azekkanni iboui seg sen irouh’ Le lendemain il emporta d’elles (des racines). 11 alla f ------------------------------ J------------ - ■1 - ^ (1) ïiVêrbalen} burnous en guenilles (mot arabe). http:/ /e-mediatheque@mmsh.univ-aix.fr [8-16354 FR] Corpus | Langues

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