A. Hanoteau : Essai de grammaire kabyle : renfermant les principes du langage parlé par les populations du versant nord du Jurjura et spécialement par les Igaouaouen ou zouaoua||suivi de notes et d'une notice sur quelques inscriptions en caractères dits Tifinar' et en langue Tamacher't

— 202 — ias tikher ad'isauou oiiâoud'iüu iou nef à elle : Retire-toi,' il boira le cheval de moi, sinon akem akoulef thenna ias rouh’ a oulid’i je te foulerai aux pieds. Elle dit à lui : Va, ô mon fils, thinidh thoufedh Mi s ougellid’ iroumien tu dis tu as pris la fille de lui du 'roi des chrétiens. iou fa l our issiou ara aâoud’iou is mi Il retourna il n'abreuva pas le cheval de lui. Lorsque ibbodh s akhkham is inna ias i imma s il arriva à la maison de lui, il dit à elle à la mère de lui : ak’li d* amoudkin ouk’k’em i i askaf alchiiâdh Je suis malade, fais à moi un potage, tu enverras fer themfarih enni oufif d’i thala vers la vieille femme que j'ai trouvée à la fontaine. thenna ïas i isker segmi ibba Elle dit à' lui T il ’ fait (c'est bien). Aussitôt que fut cuit ouskaf Iheehnâ fer themr’arth inna le potage, elle envoya vers la vieille femme. Il dit ias i themfartheich id9i thczzel h elle à la vieille femme : Mange avec moi."Elle étendit afouss is , atetch it’t’ef la main d’elle elle mangera (pour manger), il saisit afouss is ez d’akhal b ouskaf thenna ias la maind'elle à-■'['intérieur' du potage. Elle dit à lui ; ebrou i i <crr’i f inna ias our am berrouf ara Lâche-moi, je brûle. 1 dit à -elle : Je ne te lâcherai pas alemma 1 Ihemlidh iia/nid9a thella jusqu’à ce qüe tu aies montré à moi où est Mi s ougellid9 iroumien ihenna ias la fille de lui' r du roi des chrétiens. Elle dit à lui : ahats akka netsath our thessin ara anid’a thella Elle est ainsi (là).- Elle iiq* savait pas où 'elle était: iberrah1 i Ikheddam is inna iasen U lit publier aux serviteurs de lui, il dit à eux ; http:/ /e-mediatheque@mmsh.univ-aix.fr [8-16354 FR] Corpus | Langues

RkJQdWJsaXNoZXIy NDM3MTc=