A. Hanoteau : Essai de grammaire kabyle : renfermant les principes du langage parlé par les populations du versant nord du Jurjura et spécialement par les Igaouaouen ou zouaoua||suivi de notes et d'une notice sur quelques inscriptions en caractères dits Tifinar' et en langue Tamacher't

à* »0‘ . P , her^X ir. L _, k-^^ . ■ <- - \ Tous ces sons persistent lorsque le verb^s^^4Æn)31o'‘ avec les particules du futur : ad’ et fa . Les particularité euphoniques des r e primitifs (Voir page 105) ne s retro vent pas dans les verbes de la 4e forme. La première consonne de quelques verbes primitifs se change en A à la 4e forme, ,\0 h <y , !J'- . Exemples: ^ # f <A.' &y ts azeg, être mouillé babituellem*, de ebzeg, être mouillé. .¿ ^ . ts âges, se ceindre les reins — ebges, se ceindre, i ^ > ts added , être debout — ebded\ être debout. 1 * 1 ^ i ^ y/ y On trouve aussi : ; tJ _ t ■ ^ ‘ >V1 r r' f ts enekkar, se lever habituellement, de ekkcrf se lever. * * ' % • * 1 M Mais dans les dialectes des Chelouh et des Touareg, <*v ^4 i 1 a * enker, au lieu de ckker . ts enekkar est donc dérivé d’un radical oublié dans le t i j pays- u * C i * i'- ■ t '1 J' i%f’ ■r * _ n t # f f ■ Jtfr Lorsque la première consonne du radical primitif est r ¿r un s ou un ch, on met seulement un t devant le radical *% ^ * pour obtenir la forme d’habitude. • >• ^ f ■ ‘ . . ■ . : - _____ A'*‘ . -J http:/ /e-mediatheque@mmsh.univ-aix.fr [8-16354 FR] Corpus | Langues

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