A. Hanoteau : Essai de grammaire kabyle : renfermant les principes du langage parlé par les populations du versant nord du Jurjura et spécialement par les Igaouaouen ou zouaoua||suivi de notes et d'une notice sur quelques inscriptions en caractères dits Tifinar' et en langue Tamacher't

Une fois se dit ioun oubrid \ un chemin. Quelqu’un , quelqu’une s'expriment par /ow//3 loueth, un, une. Exemples : iousa d ioun , est venu un (il est venu quelqu'un). thoiisa d iouelh, est venue une (il est venu quelqu'une.) Personne , awcM/i-, aucune s'expriment par oulemma iounj oulemma ioueth, qui signifient : pas même un, pas même une, Exemples : ' our d iom i oulemma ioun . Il n’est venu pas môme un (il n ’est venu personne). our d tkousi oulemma iouelh * Il n'est venu pas même une (il n ’est venu personne). Une personne -se rend par ioun ounjaz , un homme, iouelh thamet fout h, une femme. I n autre, une attire , etc. s'expriment ainsi ; I n autre, ouaiedh , ouin idhen, enni idhen. Lne autre, thaiedh , Iltin idhen , enni idhen. Autres (masc.), ou iiadh , ouidfen idhen, enni idhenin. Autres (fém.), thid’en idhen , cma . Exemples : r ou r i akhkkani, o u i ’er’ ouuiedh, ouin, idhen. J ai une maison, j ai acheté mie au Ire, une autre. http:/ /e-mediatheque@mmsh.univ-aix.fr [8-16354 FR] Corpus | Langues

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