Belkassem Ben Sedira : Cours de langue kabyle. Grammaire et versions

— 395 — Tliaouodhedh r ’-er izem aberkan (1), Ed’ bab (2) el borhan, Yah’ia-Léidali. Isah’ ouqchicli, d’amezian, iSebr’en t (3) d’ elouali ; Oulach itli fi koull amkan, Aérab, Aqbaïli. Seba snin d’eg El-H’ammam (4), H’add our th itsouali. Lmakla ines d’izôuran, D’i thmourth elkhali. Iâbbed’ Rabbi d’eddouam, D’i lkhaloua ig tsili. Essebbas, d’ass enn mig ban (5), Idh-her d’ah’ouaïli. Iouli r’er thaddarth, ennan, Ezran t ass enni. D’azguer (6) enni aï ezlan, (1) L e lion noir est le plus fort et le plus intrépide de tous les fauves. (2) Mis pour d'bob, à cause de la mesure. (3) Les anges l’agréèrent et lui donnèrent le baptême de la sainteté. (4) Eaux thermales de Sidi-Yali’ia, à une dizaine de kilo­ mètres d’Akbou, un peu plus loin que Gueldaman. (■5) Pour imi iban , le jour où il a montré sa puissance miraculeuse. (6) Le pronom se rapporte à asguer. Dans les villages kabyles, on tue de temps en temps un bœuf ou des moutons, dont la viande est distribuée par parts égales entre tous les habitants. C’est ce qu’on appelle ouzia’a ou thimcchrel'. Dans http:/ /e-mediatheque@mmsh.univ-aix.fr [8-16303_FR] Corpus | Langues

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