Belkassem Ben Sedira : Cours de langue kabyle. Grammaire et versions

— 386 — Thislith agüi tsasâdith, am aggour n elâid’ : Ad eséou rabâa ouarvaou, ïoun ismis Saâid’. Nek ourd d riser’ d’a, aremmi er’rir’ d’eg [tsouh’idk Mi i ih’oubb Rabbi, er’rir’ d’et’t’elba louah’id’. Our thetseqqenemelh’enni, ar d’ii themlem (1) : Emmis el lkara, d’emmis el Ijid’. Emmis el Ijid’ ihedder s elmiz (2) ; Emis el lkara our isthenqid’. Sr’ertliemth fellas, a thid’ our na’diz (3). Ancelli f ennebi, aï atli elmah’dher (4). Aï chekrer argaz el« ldali, d’eldalem mchenguer. Ad’ ernour’ azôouali, d’outsourki mh’ember (5). Alcoun chïouerer’, a kra d’a, r’ef kra 1lamer. Thimr’arin, ar tlient nh’iz arma d’Souq-Lem- [Kaser (6). (1) Ce n’est pas un vers, comme dans la chanson précé­ dente. (2) Expression plus usitée : s Iqias. (3) Variante : A thid’ our na’guiz. (4) Ces vers sont de dix-, douze, treize ou quatorze pieds. (5) C’est-à-dire : riche ou pauvre, fort ou faible. (6) Le Marché des vieilleries , à Alger, se disait autrefois de l’ancienne place de la Lyre, où l’on vendait toutes sortes d’objets de rebut. http:/ /e-mediatheque@mmsh.univ-aix.fr [8-16303_FR] Corpus | Langues

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