Belkassem Ben Sedira : Cours de langue kabyle. Grammaire et versions

ccxxxi 'K > : ^ - ' r ,z" (_ i el’t’elba, ibr’a ad’ isedh-her i medden irkoulli lâjoubath is. Iddem ed lhachit’a ouzemmour, * iououeth iss iiddid’en enni itchouren : d’i thouq- yf<- qena o til’, our’alen irlcoull tsir’et’t’en ; dher’a > et’t’efent abrid’ m Bgnïth, nehren tent et’t’elba rv enni n Sidi-Touali. Mi ebbodhent zd’alh oumra- î bedh enni, knant irkoull s lkiasa r’er lqaàa; d’eg ' f1 ïouth tsouiâts our’alent d’ iiddid’en. Légende sur Sidi Y a h ’ia -L a ’idali Sidi Yah’ia-Lmdaii est un des marabouts les plus vénérés dans la Kabylie de Bougie. Son tombeau, chez les Beni-A’idel, est encore l’objet de fréquents pèlerinages. Originaire de cette tribu, il quitta bien jeune le toit familial, pour se consacrer au culte de Dieu. Après avoir erré pendant plusieurs années, vivant de racines et se réconfortant par ta prière, il voulut un jour revoir le village natal. A son arrivée, il apprit qu’on venait d’égorger un mouton et qu’on avait oublié de réserver la part due à sa mère, pauvre veuve, dans la distribution traditionnelle. Il en éprouva une profonde émotion et courut immé­ diatement au lieu du sacrifice. L à , il trouva ses concitoyens autour de l’animal encore tout pal­ pitant. Il invoqua Dieu tout-puissant, et aussitôt le mouton revint à la vie, au grand étonnement des assistants. C’est ainsi que Sidi-Yali’ia se signala par un premier miracle à l’admiration des gens de son village. Dans la suite, sa renom­ mée ne fit que grandir. E n effet, quelque temps http:/ /e-mediatheque@mmsh.univ-aix.fr [8-16303_FR] Corpus | Langues

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