Belkassem Ben Sedira : Cours de langue kabyle. Grammaire et versions

— CCXXVI — servantes et lui dit : Mes frères sont en train de se battre. — Et pourquoi? firent les servantes; — L’un, répondit-il, est menuisier, l’autre mar­ chand de soie, et le troisième t’aleb. Le menuisier avait fabriqué une femme en bois, le marchand l’avait habillée de soie et le t’aleb l»i avait créé une âme. Maintenant ils sont en désaccord au sujet de sa possession : chacun la revendique pour lui seul. — Alors la fille du roi ne put s’em­ pêcher d’ouvrir la bouche pour dire : Elle devra épouser celui qui lui a donné la vie ; le t’aleb. — A ces mots, l’indi vidu,s’adressant aux servantes : Soyez témoins, s’écria-t-il; elle a parlé. — 11l’eut pour femme ensuite. Xll Sidi-Abdallah Ezzath oubrid’ 1lhouaïclijts.a.otjjn d’eg Qsems t’ina r’er ezzan n Ath-Mouias, thella ïouth eççe- méa, r’ef id tsaouin ïouth tad’iant 1lôjeb. H’ek- koun d r’ef Sidi-Abdallah, ouaïnnahou thebén t Errouman, akken kechmen thamourthis. Our ^ ibedd orrni ibbodh r’er oumkan d’eg thella thoura . eçoemâa iaguiid nouder i ousaoun a, ïouakken ara isgounfou. Iqqen aâoud’ïoûTs r’er oudhar is, ir’li it’t’es. Kra akka ebbodhen d Errouman, ";V- 'dufan t iguen, ezzin azd essour d’ aalaïan, ïouak­ ken our izemmer ara ad’ iffer’, ou ath atseben, g oumkan enni, akken br’un. Ara fouken lbeni, iouzzel ed imet’t’i d’eg tliit’ ouéoud’ïou enni, tlie- cebeh’ ed r’ef thaouajaïlh (ar’esmar) n Sidi-Abdal- http:/ /e-mediatheque@mmsh.univ-aix.fr [8-16303_FR] Corpus | Langues

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