Pierre Joseph : Les moines travestis : tome second

l' ARMI LES CARMES. ·n ja plus de trante ans que l'Egli[c Oriantale joüifl.oit de ce bien , enfui– te que la viél:oire de Confrantin rem– porta fur Licinius, <.JUi fos en-trois cent quinze Oi.l vint-cinq. -l< Ainfi s'il"' Il ra de1n: y eut eu des Moines cachez parmi les oprnhions 1 Ch , . . 1 r. r . . c: Il. tonc .;in t c . reaens , 1 s 1e 1ero1ent ma111re1œz rems de cet- en même rems que les Chrétiens fe fi- re celebre. rent publiq11ement connérre. De jonrn~e, cette forte Hilarion n'aurait fait que continuer ou augmer.ter l'état Mo- nacal, comme les Carmes le fopofenr, fuit atumnus Religionis Ca1'mclitan.e tjufque re?ar.ator. Si cela eut été ain{i, faint Jerome n'aurait pas manqué de trouver encore dans la Syrie & dans. la Palefüne de ces anciens Moines qui étoient demeurez cachez pendai1t la perfecution ; & cela l'amuit empêché . d'atribuer à faint Hilarion la gloire d'avoir été le premier Fondateur & Infl:ituteur de la vie monacale dans ces contrées là. llle Fundaror & Eruditor hujus converfationiJ & jhidii in hac provincia primum fui1. , Mais fi ces Moines & ces Monafl:e– res n'étaient pas publics ,_il n'ell: pas. donc vrai qu'il y eut toû·onr5 en des Carmes au Mont Carmel , ni encore moins une Chapelle drdfée à l'hon.- e-Médiathèque | Histoire Provence | YP_87 (2)

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