Pierre Joseph : Les moines travestis : tome second

· 'PARMI LES MINIMES. 1i7· :Ordre. Cette PrinceCT.è n'a pû pran– -dre c~t engagement qu'avant fa ré– :pudiation. En ce tems-là les Fran– cifrains veulent la faire du nombre ·de leurs fœnrs. Ils ne font point :fondez dallS Jeur prérant'Ïon , ainli .que je crois de l'avoir prouvé dans le Chapiti;e de leurs travdhlfemens. Les Minimes le font encore moins, n'.aïant que des vraifemblances qui font même plus foibles. Car fi on .met leurs Auteurs ,.à part , comme on doit ·le faire, iLne leur rell:era que la familiarité de '.leur Fondateur dans la Maifon Roïale , pour toute - ~parance de droit. Il faut conve- 41J.r .qne cette familiarité étoit trés- '.!7rande. Les favans Hifl:oriens de l6t frern la Maifon de France nons apren- S.1mmar1h. " F . d p l T>m 1.tiv . nent meme que ranço1s e au e 8 ht1p 5 .éroit le confolateur àc la Princelfe 1 ·' • • . Jeanne dans ·toutes fes aft1iéèions, -qui cerrénement ne forent pas peti- ..tes. Mais ils ne difent pas qu'elle fnt enuée dans fon Ordre , non pas même 'lu'elle fot fa fille fpi- riruelle. On ne peut pas auffi de !.!CS fignes de familiarité indnire "-CS chofes. On peut être fort familier e-Médiathèque | Histoire Provence | YP_87 (2)

RkJQdWJsaXNoZXIy NDM3MTc=