Pierre Joseph : Les moines travestis : tome second

rt I ' t ~ L ~·. '· iso MOINES TRAVESTIS rateur , de l'Ordre Augufüen qu'on– lui donne, n'efr pas moins imaginére que fa profeffion dans ce même Ordre. èh.-onie. Cette attribntion auffi n'efr fondée Berg1mm, que for la fopofirion que les Ermites 11 d an"!. Augufüniens font que Jean Bon avoir '1"ndiJh; rl~ fair refleurir lem Ordre , à l'imitation ot;1· c r1,rid G ·11 D d'A . . . i'8 e m aume uc qmtame qm ' l'avoir beaucoup étandn en France, & qui même en avoir fondé un Con– vent à Paris , qui efr celui des Guil– lelmites. Ce refre de fiél:ion Monacale ache– ve de faire voir que Jean Bon ne fut jamais Seétarenr de l'Ordre de faint Augufrin , dantant que Guillaume Duc d'Aquitaine ne fat Jamais pro– felfeur d'Ordre Religieux, comme je l'ai fait voir dans mes Moines Em– pruntez. Il peur encore moins pa!fer pour Fondateur d'un Convent à Paris, qui ferait celui des Guillelmites ou des Blanc Manteaux , parce que cette maifon eft de fondation pofrerieure au rems que Guillaume vivoir. Ainfi Jeah Bon ne pouvoir penfer a imiter un fait qui n'etoir pas : Et fi ce faint Archimandrite n''a pû donner dans cette vi.Gon , on a dû encore moins y faire tomber faint Auguftin , dans e-Médiathèque | Histoire Provence | YP_87 (2)

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