Guy Carron : Les confesseurs de la foi dans l'église gallicane à la fin du dix huitième siècle : tome quatrième

( 61 ) d,un peuple séduit se fût un peu calmée. 1\f ais tel étoit raveuglen1ent' telle étoit la n1échan– ceté de plusieurs juges et autres fonctionnai– res publics, de trouver des crin1es où l'on n'eùt · dû reconnoître que des vertus, et d'altérer ainsi les pren1ières notions du bien et du n1nl, pour faire marcher une constitution que l'on disoit fondée sur la liberté et l'égalité prin1i– tive et naturelle. Supérieur à ce vain langage d'iniquité, J\fonsieur Ber1in l\f ourot soutint dignen1ent, devant ces aveugles persécuteul's de la vertu, le caractère auguste de 111inistre de Jésus-Christ; et il reçut en récon1pense la couronne du 111artyre, à Besançon, siége de la con1111ission 111ilitaire, le 5o juillet 1 798. Ego ad Dominun2 asplciam : expectabo Deum sal– vatorem nzei1m. l\1ich. c. VIT. Qui sequi'tur me , non amhulat in tenehris, sed lia– bt:bil lu1nen vitœ, dicil Domlnus. Joan. y Ill. e-Médiathèque | Histoire Provence | YM_74 (4)

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