Guy Carron : Les confesseurs de la foi dans l'église gallicane à la fin du dix huitième siècle : tome quatrième

( 5·5 ) j) en apparence pour des travaux anaton1i-.. )) ques, mais en effet pour nn usage ·bien dif– >> férent ». Ainsi n1ourut, à l'âge d'environ cinquante·sept ans, ce bon curé d' Arlay, digne ., plus titnide des hommes, lui dut Je courage avec ]~~, quel il subit sa sentence de n1ort.. Il seroit difficile de ,, peindre teut Je 1nérite de cette sainte fille. n Collége royal de Strasbourg, 4 avril 1819. n J. Jos. DESCHARRlÈA.ES, aumônier u. Déjà plusieurs fois nous nous somn1es empressés de rendre hon1mage à l'ange consolateur des confesseurs de la foi ; rnais il nous est doux de couvrir ici ces res– pects du plus honorable témoignage. Il est encore un respectable laïque au zèle et aux re- , cherches de qui nous avons des ob1igations touchantes: quelque part qu'il existe, si sa famille et ses amis ont ]e bonheur de Je posséder encore, puisse lui parvenir cet hommage de notre reconnoissance. M. de Malard, natif de la province de Normandie, gentilho1n1ne plein de foi et de zèle, vivoit ~ Augsbourg en 1799, et c'est dans cette ville qu'il communiqua de précieux rensei– gnemens qui nous ont été fort utiles, sur la mort de plu– sieurs martyrs de Be!'ançon , dont il avoit partagé les fers en 1797 et 1798. Mais a combien d'autres amis de la religion n'aurions-nous pas à rendre ici le tribut c1µ'il nous est si doux de payer, soit à Ja personne, 1 soit à la mérnoire de M. de Malard ! e-Médiathèque | Histoire Provence | YM_74 (4)

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