Guy Carron : Les confesseurs de la foi dans l'église gallicane à la fin du dix huitième siècle : tome quatrième

( 477 ) l> tout avec celui qui pron1et d'être votre force, )) et qui vous con1111ande de n1archer au mo-– » 111ent que vous y pensez le moins. Déjà )) votre sollicitu<le pastorale console, anin1e » vos diocésains et tous leurs 1)asteurs. Sous » votre vigilante houlett.e, n1archant d'un ·pas >) fer111e, pendant les jours ténébreux_, nous » affronterons, sans rien craindre, les dan– '> gers les plus in1n1inens ..... Pourquoi tre111- » hler "! il n'y a pas lieu <le craindre. A.près » bien des ten1pêtes, le Saint-Esprit, qui souf– » fle où il veut, et quand il veut, vous a 1> poussé vers nos parages. J ...... a quantité des ')) eaux n'a pu éteindre votre charité, pour- » quoi ahattroi t - elle votre courage ?...... ; » Vous êtes avide de bons conseils: Sapieris » aztdfens sapientior erit. Plusieurs sages vous >) ont déjà dit d' êtxe înébranlahlen1ent sou– )) mis aux ordres de la Providence; vous lui >J d.e1nandez sans cesse ; Seigneur, que voulez. » vous q?e je fàsse 1 ! Il vous répond , en n1ille » endroits des livres :saints ; Conjortare _, et » esto robustas. Noli 1netuere) et noli tùnere:; » quoniani tecian est Do1ninus Déus tuu~s in, ,, 01nnibus ad quœcu1nque perre:x:eris >' .. ( Jo– sué, 1, ·9· ) e-Médiathèque | Histoire Provence | YM_74 (4)

RkJQdWJsaXNoZXIy NDM3MTc=