Guy Carron : Les confesseurs de la foi dans l'église gallicane à la fin du dix huitième siècle : tome quatrième

( 42.1 ) n mon frère aux portes du ciel , et n1'en >l tracoit à n1oi-n1ê111e la route. Le 111onde. . .. 11 n'étoit pas digne de le posséder plus long- )) ten1ps. Soumettons-nous, en nous attachant )} à la pensée qu'il a reçu le prix de ses ver– » tus .. Mais .con1n1e il 11e nous est p.as défendu » d' en1brasser des consolations d'un or<lre in- . » férieur, je vous en offre , dans l' afllictio11 )) générale que ce n1alheur a causée. Oui, »· l\fonsieur, la n1ort de M. votre frèi"e a été >l une calan1ité publique ; n1a fan1illc, tous les n fidèles François qui n1'entourent , ont, ainsi » que moi , cru perdre un père , et notre » affliction a été partagée par tous les habitans » de Mittau~ Toutes les classes, toutes les » croyances se sont réunies à ses funérailles , >> et une douleur universelle l'a accon1pagné à >l sa dernière d·en1eure. >J Puisse ce récit adoucir votre peine! >' puissé-je donner ainsi à la n1é1noire du >J plus respectable des hon1n1es, une nouvelle >, preuve de vénération et d' attache111ent. » Soyez persuadé , Monsieur, de tolf n1es >> sentimens pour vous et pour la famille de " M. l'abbé E8ge,vorth. '' Louis ». e-Médiathèque | Histoire Provence | YM_74 (4)

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