Guy Carron : Les confesseurs de la foi dans l'église gallicane à la fin du dix huitième siècle : tome quatrième

( l,20 ) auroiènt dû la faire renoncer à son dessein 1 mais nul n1otif ne fui capable d'ébranler cette 111agnanin1e résolution. Une dan1e qui fut té– n1oin de ces discussions, a rapporté litté– ralen1ent , <·< que personne ne put la faire >' sortir de la cl1a1111lre de son cher et res– » pectable ni ala<le ». c< lVloi ns il a la con– ,, noissance de sa position et de ses besoins, » dit la princesse, plus la présence d'une » an1ie Jui est nécessaire. Je n~bando11nerai » jan1ais celui qui est plus que n1on ami, » l'a111i noble et généreux de toute n1a fa– » n1ille , qui a quitté la sienne et sa patrie » pour nous .... , tout, tout pour nous! Rien ' "} d . . Il » ne m en1pec iera e soigner i1101 - n1e1ne » l'abbé· Edgeworth; je ne de1nande à per... )) sonne de m'accompagner )} . Copie {le la lettre de LOUIS XVII~, roi de France,, à M. Vssher Edgeworth. ,, La lettre que 1\1. l'archevêque de Reims >> vous écrit , J\'loi1sieur , vous instruira de la » douloureuse perte que nous venons de faire; » vous regretterez le n1eilleur et le plus tendre » des frères. Je pleure un an1i, un llienfai– » teur, un consolateur, qui avoit conduit le l"Oi e-Médiathèque | Histoire Provence | YM_74 (4)

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