Guy Carron : Les confesseurs de la foi dans l'église gallicane à la fin du dix huitième siècle : tome quatrième

( 576) q·u'elle se trouve, à peu de différence près, la n1ê111e que ceJle déjà citée de M. Sicard, nous croyons devoir la consigner ici. 1.Jes deux con– fesseurs partageoient les n1 ên1es fers, étoient plejns des n1ê111es . 8entinicns, est-il éton– nant que, leurs cœurs se répondant si bien,. leur langage, devenu con1n1e l'écho de leur profession de foi, se soit aussi n1antré le 111ên1e? (( Je pardonne de bon cœur à tous 111es en– » nen1is, principalen1eut à ceux de Porriè– )) rcs. Je donne volontiers ma vie pour l'ex– >) piation de n1es péchés, pour la gloire de >l Dieu et pour la paix de l'1~g1ise. >) J'exhorte fous les vrais fidèles à la con– )) fiance en Dieu; je den1ande la conversion )} des pécheurs et la paix générale · de tous les )) peuples égarés, et principalement de la , n France, en les ran1enant au sein de l'Eglise ; » catholique. Je prie Dieu pour mes parcns, n an1is, enne111is, et ponr les détenus, surtout >l pour ceux d.e la Malgue et de Br1gno1es. Je " n vous :issure que ce mon·1ent est pour n1oi » l'un <les plus tranquilles, et <.JUe 111ou ame >) est dans une joie parfrtite, en se confiant aux ·» n1érites de Jesus-Christ; elle désire sortir e-Médiathèque | Histoire Provence | YM_74 (4)

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