Guy Carron : Les confesseurs de la foi dans l'église gallicane à la fin du dix huitième siècle : tome quatrième

( 566) ~~ 1\iadan1e, n1ille fois trop heureux de pou– ' ' voir offrir pqur le paiement de i11es dettes » ce petit échange à. u11 Dieu d' an1our et de » bonté, qui a payé bien plus cher ]a ranço11 · » de nos an1es, je veux dire qu'il l'a payée au J> prix de tout son sang. . » J'ai un petit scrupule sur la conscience, » il ne tient qu'à vous de le lever. Vous n1'a– )) v~z envoyé dans la prison de Saint-Denis, ~ au lien de n1es rasoirs, deux qui sont à » vous o~ à M. Cor111eaux; ils ont paru si » beaux et si bons aux connoisseurs., qu'o11 >.t n'a pas balancé ~l 111'en donner dix - huit J> francs et un autre rasoir, bon, . n1ais de » n1oindre qualité; co111n1e ici j 'ai plus · be– l> soin d'argent que <le . tout autre chose, » je. 11'ai pas bnlancé_ à les vendre; ainsi j'ai >> :vendu ce qui 11' est point à 111oi, n1ais à >> vous. On · parle de renvoyer les infirn1es et )) les sexagénaires dans leurs départc1nens. » Notre ~n1barquen1e11t est i111p.ossible, à cause '> _du voisinage des Ang1ois., qui -infestent la >~ i11er jusqu'à la Rochelle , à sept lie~es d 'ici. )> I~e vaisseau qui étoit destiné à , nous con– >> driire à Cayenne, a une autre , destination, '> en dit .pour l'Irlande. 011 i1e . sait encore e-Médiathèque | Histoire Provence | YM_74 (4)

RkJQdWJsaXNoZXIy NDM3MTc=