Guy Carron : Les confesseurs de la foi dans l'église gallicane à la fin du dix huitième siècle : tome quatrième

( 359) » de quoi cothposer le miel de la plus excel_, ,, lente vertu ». pans la seconde lettre où le prisonnier de Jésus-Christ expose avec une innocente can– den r ce que sa situatio11 présente offre de sa..– crifices, nous trouvons un esprit de paix et d'entière conforn1ité aux volontés de son di– vin Maî!re ' · et dans le sein des pl us grandes épreuyes, un caln1e, un sang froid, un cou– rage qui s'élève jusqu'à l'héroïsn1e. t-< Vous avez dû voir que je ne vous ai point » oubliée. Non, l\fada1ne, non; soyez persua· » déc, vous, et toutes vos chères co111pagne.s - . " que je salue très-affectueuscn1ent, que je » n'oublierai jamais tous les bienfaits, tontes » les. i11arques de bonté, tous les exen1plcs, » en un mot, toutes les faveurs en tout genre » dont Dieu a daigné n1e con1hler dans votre >> r espectable 111aison, et dont il a voulu que » vous fussiez comme le canal. Le souvenir de '> » toutes ces grâces n1'est trop cher, et trop , . ' • • ' c » prec1eux a n1on cœur, pour 1an1a1s sen ci- )) facer. Soyez assurée qu'il durera autant qu~ >> 111n vie. Recevez, je vous prie, de nonveau, )> les assurances de 111a plus sincère gratitucle i> et de n1a plus affectueuse reconnoissance~ e-Médiathèque | Histoire Provence | YM_74 (4)

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