Guy Carron : Les confesseurs de la foi dans l'église gallicane à la fin du dix huitième siècle : tome quatrième

( .557 ) •> nies sen.timens et n1es dispositions ; en rr1ô11· » ta.nt sur le vaisseau, je c·hanterai bien vo– » lontiers, et dans tous les transports de la J) jo.ie Ja plus vive, le Te Delun et l'/1z exit1t )> Israel de Eg),.·pto, en actions de grâces de » ce que le Seigneur aura bien voulu jeter eu fin » des regards de miséricorde sur nous, en nous » accordant, co:n1ni.e la grâce la plus sig·nalée » dont il pût nous favoriser, de sortir de cette )) malheureuse Egypte, pour aUer lui sacr·ifier >> libre111ent dan·s le désert d'une terre étra.n– " gère. Consolez-vous do1.1c, encore une fois, )l Madame, consolez-vous; non, non, n'appe– » lez plus malheur, disg1~âce , adversité, souf:.. » france, :tribulation, persécution, ce qui cloit )> être pour nous la s~urce du plus grand de » ta.us les !bon·heurs, ·en nous ouvrant la voie à )) une -vie ip1I11ortelle et ·glorieuse, et en -uous )) procurant cette· courotl'H.e de gloire qui 11e >' se flétrira jan1ais. » J'entends d'ici yotre répo·nse. Ce n'es:t pas ,» nous, dites~ous, qu·e vous pleurez, n1ais » vous-n1ên:ies, que nous laissons orphelins. » Avez-vous oublié ·que Je Seigneur se glo– >J rifie, dan·S les saintes Ecritures _, d'être Je » père ,des orphelins. Continuez ·donc tou- e-Médiathèque | Histoire Provence | YM_74 (4)