Guy Carron : Les confesseurs de la foi dans l'église gallicane à la fin du dix huitième siècle : tome quatrième

( 524 ) » par nos peines, Ia paix puisse être rétablie, n et l'unité <le r1~glise conservée. » Nons yous saluons, vénérables frères et » illustres confesseurs de Jésus-Christ, nous >> vous souhaitons, du fond de notre an1e, la >> paix, que les in1pies ne peuvent jarnais » avoir, rnais qne les hon1rnes de h:ien pos– '> sèdent au rnilieu i11ênlc des souffrances et l ' . ' ' >' f es persecutJons; et c est avec une tres- >> grande aflection qne nons vous donnons » notre hénédictîou apostolique, co1nn1e u11 » gage de notre a1nour paternel et de not1•è . )) l'{'COnnOJS'.'allCC )). Que nos lecteurs nous 1)ar<lonnent de nous. étendre au loug sur Je 1nartyre, sur la dou-. loureuse agonie de l'i111n-iortel pontife. De– vions·nous un hon11nage vulgaire ~t comn1un ' à celui qui ne fut pas seulen1ent le pren1ier,_ niais encore Je pJus noble 111odèle des prê– tres et des évêques! Eh! quoi donc, pouvoit– il être un plns attendrissant, un plus noble sujet de n1 édita ti on , disciples de l' Agu eau , que le spectacle du successeur et du rival de Pierre, du confesseur et n1artyr dans Je cours de sa captivité. Un conterüporain religieux et se.nsible nous reporte aux jours o.it l'illust1~e e-Médiathèque | Histoire Provence | YM_74 (4)

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