Guy Carron : Les confesseurs de la foi dans l'église gallicane à la fin du dix huitième siècle : tome quatrième

( 322 ) 1> souffrir des aff1~onts pour le non1 de Jésus.. )> Christ. Ainsi, vénérables frères, consolons– » nous les uns les autres; car, quoique nos » trihulatio.ns paroissent an-dessus des forces >t hun1aines, cep~1dant Dieu, de qui vient » toute force, et qui a pron1is d'être avec n nous jusqu'à la conson1n1ation des siècles, >> est pour nous un tel appui, que nous pou– » vons les supporter, non - seulen1ent avec ~) constance, mais encore avec joie. Cepen– » dant, con1n1e saint Léon - le - Grand ré– ,> crivoit à Flavien : Quoiqite nous rendions » gloire à Dieu,~ qiti nous soutient par la puis– >> sance de sa grâce, il faut ple1trer le nial– » lzeitr de ceitx qui attaquent la vérité~ fou, .. » le1zt aux pieds la religion~ et ébranleitl les » fonde1nens de toute l'Eglise. Prions donc >> sans cesse notre seigneur Jésus-Christ, qui )) veut sauver tous les hon1n1es, et dont les » n1iséricordes sont au-dessus de tontes les 1 » œuvres, de délivrer des an1es, rachetées par >> son sang, du grand péril auquel elles s'ex– '> posent, et de ne pas souffrir que la perle )) déplorable d'un si g1~and non1bre de préva– » ricateurs, rende con1n1e inutiles et sans fruit , . l) sa vertu et ses n1er1tcs. e-Médiathèque | Histoire Provence | YM_74 (4)

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