Guy Carron : Les confesseurs de la foi dans l'église gallicane à la fin du dix huitième siècle : tome quatrième

( 5o3 ) vite à demander' par la n1anière noble et fa– cile dont elle accorde ses grâces; accueil pJeiu de bonté, qui ten1père la n1ajesté sans l'affoi– blir. CorrJhien de fois l'avons-nous enteridu t.én1oigner sa douleur, de n'avoir pas dés n1oyeus aussi étendus qu.e ses désirs,. pour rendre heureux tous ses enfrtns ! Charité. con1- patissante, tlle s'attendrit sur la. vertu dans la disgrâce; sa jouissance seroit <l'essuyer toutes 1 les Iarn1es, et il ne peut ètrc de persécutés sans consolation, que ceux dont les gén1isse– n1ens ne sont point encore parvenus au pied d ... Ch . ' . 11 d . ,. c son trone. ar1te active; e e a1gne s 1n- forn1er de tous les besoins, entrer dans tous les détails) ordonner elle-n1êl11e la répartition de tous les secours. llien n'échappe à sa solli– citude; elle suflit à tout, et, cornn1e une se– conde providence, on la voit partout se re– produire. Continuons la fidèle peinturt! : chaque trait dont uons la formerons doit nous ÏHspirer. uu désir toujours plus ardent de nous rcvèr·.ir, pour tous nos frères, d'entrailles de n1iséri– corde; chaque nouveau trait est propre à nous déceler ce tréso1~, ce trésor inépuisable de clé– In;e11ce, .q:.Ui repose dans le cœur du pre1nier e-Médiathèque | Histoire Provence | YM_74 (4)

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