Guy Carron : Les confesseurs de la foi dans l'église gallicane à la fin du dix huitième siècle : tome quatrième

( 267 ) » server la santé pour la consolatio11 de tous )> i11es frères et sœurs ! Ah ! puissiez-vous leur » inspirer de plus en plus Ja crainte du Sei– » gneur , la haine du péché et l' an1our de la » vertu ! Chers amis, ain1ez Dieu de tout votre . . . . >J cœur, 1e vous en con1ure; a1n1ez-vous aussi » les uns les autres, si vous voulez être heureux. )> Oh! que je voudrois bien être avec vous » quelque ten1ps ! Que je serois aise si je pou– >> vois vous en1hrasser, et vous dire de vive » voix con1hien je vous ai1ne ! Ah! soyez per– » suadés que n1on éJoignen1cnt n'a en rien di– » n1inué de n1on a1nitié pour vous. Et vous, » .cher parrain, Dieu veuille vous bénir et » vous fortifier. Soyez, je vous prie de nouveau, » l'interprète de ines sentin1ens auprès de i11a >> bonne et tendre n1ère , toutes les fois que >J vous aurez le bonheur de la voir. Avec quel >> plaisir j'ai appris que vous aviez eu la con– » solation de vous entretenir avec elle! ...t\h ! » ren1erciez-la pour n1oi 111ille fois , cette )> mère hien-ain1ée. Que je suis sensible à )> toutes les n1arques de bon té qu'elle veut bien 1> in e donner ! Comment pourrai-je recon– » noître tant de bienfaits ! Chère et bonne ' . . . . ' » n1ere , ne soyez po1nt 1nq u1cte sur inon e-Médiathèque | Histoire Provence | YM_74 (4)

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