Guy Carron : Les confesseurs de la foi dans l'église gallicane à la fin du dix huitième siècle : tome quatrième

( 260 ) n n11s pour les autres. Oh! n1on cher frère;,. J) con1n1e je vous ain1e ! Vous, inère chérie, » en1hrassez pour n1oi toutes n1es sœurs; oh! J> que n'ai-je donc la co·nsolation de les voir ! )) (~h.ère :\larie, . n'oubliez pas le Seigneur; >) ch·er Baptiste, rappelle-toi les bons avis que » t'a donnés 111on frère. Oh! vous tous, qui » n1e connoisscz, priez le Seigneur pour n1oi; >J et vous, chères arnies de n1a tendre n1ère, » consolez-la, je vous prie.... Je vous e·n1- »' brasse ~ncore une fois, rna bonne n1ère; je )) vous en supplie, ne vous affiigez point. Si >l vous 111c perdez, ·oicu vous reste; il vous ,. fortifiera et saura voùs consolet~ ". Le 1 1 noven·1bre suivant., le prisonnier de . Jésus-Christ renouveloit les ·n1êrncs et si édi– fians sentin1ens : « J\tla chère et respectable ' . . '. ' » i11ere, 1e ne croyo1s 1)as que notre se1our a » Rochefort fût aussi Jo.. . . . Que tout soit » pour la plus grattèle gloire de Dieu et pour >) notre salut. Que · j·e s~rois content,· n1ère » toujours cliérie, si · je· pouvois voüs enihras– » ser encore! Je ne puis penser à vous sans » avoir le cœur attei~ri. Je serois consolé si » je savois que vous ne vous atarn·jez ·point l> sur inon sort )) .. e-Médiathèque | Histoire Provence | YM_74 (4)

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