Guy Carron : Les confesseurs de la foi dans l'église gallicane à la fin du dix huitième siècle : tome quatrième

( 255 ) )) ne pell-se pas ·plus à la mort' que si l'on ne » devoit jarnaîs n1b~1rir, et on n1eurt sans y . . . , >> avoir 1a-n1a1s pense. » C'est toujours avec un notiveau plaisir . ' . ... » que Je n1 entretiens avec vons, o mon ten- » drè frère! Qu·e vous avez bi en raison de dire » que nous ue pouvons trouver de vraies con– " solations, que dans la religion sainte que ·» nous professons! Con1bien ces deux ou trois » dernières lignes de votre lettre 111e plai– >~ sent! ... i\ imer la paix, la désirer, être doux, " pardonner de bon cœur, ouhli er les in– >> jures, quelle doctrine divine! Oh! qu'elle '> est helJe, qu'elle est ain1able, qu'elle est )) ravissante! >l Qne je serois heureux, frère bien-aimé , )) si je pouvois in'entretenir quelques heures >> avec vous! Que ne nous est-il donné de nons » réunir, con1111e vous le désirez et moi aussi! )) Mais pourquoi se repaître à préseut de tou– ' ' tes ces vaînes idées'? et pourquoi désirer » d'être où la divine Jlr9vidence ne nous veut » pas? N'enviez point 111on 5ort, ou, pour » 111ieux dire, soyez content du vôtre. Vons )) 11 'avez pas été si n1al partagé; vous avez été >1 traité en favori. Ne vous affligez pas si vous e-Médiathèque | Histoire Provence | YM_74 (4)

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