Guy Carron : Les confesseurs de la foi dans l'église gallicane à la fin du dix huitième siècle : tome quatrième

( 250 ) » les siens, m'a fait trouver des ressources à » Tolède, où, grâces au cie1, il ne 1ne n1an– >l que rien, et où je suis content, heureux, si >> toutefois je pouvais l'être éloigné de vous. » f~es n1alheurs i11'ont appris, 111a très-digne , , , . ,, n· J » n1ere, a 11 avoir recours qua . 1eu seu . >> J'ai beaucoup voyagé depuis trois ans; >l j'ai bien pensé à vous; j'ai pleuré bien des » fois au souvenir de i11a fan1ille, et je n'ai ~ pas perdu de vue un seul instant. n1on bon ' ' frère; je me persuade qu'il ne in'aura pas » 11on plus oublié. » Je soupire, 1na très-bonne n1ère, après '> une de vos lettres; je l'attends de jour en >J jour avec beaucoup d'in1patience. )) Veuillez en1brasser ponr n1oi tous nies >) frères et sœu rs ..... Dites à n1a fan1ille que )) je rai111e toujours : je n'ose non1n1er per– )} son ne...•... ; · à cet te seule pensée , n1 on » cœur se resserre : suppléez 'pour n1oi ...... . » Adieu, 111a très-bonue 111ère, je vous cn1- >> brasse de tout i11on cœnr .... : je vous ain1e >> toujours. 0 n1a bonne n1èrc, rappelez-voùs » de n1oi d.cvant le Seigneur! Ain1ez sur– >> tont ]es pauvres, et n'oubliez pas que vo– >J tre fils Henri sera peut-être un jour réd_uit e-Médiathèque | Histoire Provence | YM_74 (4)

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