Guy Carron : Les confesseurs de la foi dans l'église gallicane à la fin du dix huitième siècle : tome quatrième

( 230 ) cessiven1ent plusieurs. ouvrages, et qui ent obtenu les sufli~ages des hon11nes éc1airés. Dans chacun de ses écrit;, qu'il sero.it trop long d'énun1érer ici, 011 reconnoissoit tou– jours le caractère d'un disciple fidèle des Do– minique, des Thon1as d'AquiB et des Bonaven· turc , et un laborieux élève de ces grands n1aî– tres. Telle étoit la nature de ses productions, que chacune déceloit le serviteur d.e Jésus– Ch.rist, l'apôtre des bonnes i11œurs, le zèle éclairé pour le trion1phe de la religion, et la plus vive cl1arit:é pour tous ses frères, Ce– p .endant 11ons ne contesterons point aux édi– teurs du lVouveµu Dictionuaire historique, et qui se sont égalcn1ent tron.1pés sur la profes... sio.n de rbon1n1e de Di~u, co111n1e ·sur .l'épo– que et le · genre de sa 111ort, le sévère juge– n1en~t qu'ils ont porté de · ses ouvrag.es~ Ils nous <lisei)t : (( Le but de tous ses écrits est 11 de défendre la religion; n1ais sa plu1ne est ' ' souvent languissante et sans intérêt ,, . En· suite ils d~clarent que l' énor111e co111 pilation intitulée Dictionnaire des Sciences ecclésias· •' .tiqztes _, et qu'il fit paroître en 1765, offre un <c assez graud non1bre de bons articles » <t l\'1~1s c'es.t plutôt le cœur , qne l'esprit et les. e-Médiathèque | Histoire Provence | YM_74 (4)

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