Guy Carron : Les confesseurs de la foi dans l'église gallicane à la fin du dix huitième siècle : tome quatrième

( 225 ) tellen1e11t dir:ig.er l'opinion vers le modérana tis111e, dans ces pénibles circonstances, que les prêtres fûrent mis en liberté, sous différens prétextes. Puissent ces traits de bienfaisance, et peut-être de charité, attirer enfin sur çe pays, long-temps cultivé par de saints pas• teurs , de dignes successeurs de l.eur ininistère ! Domine, qui habes sanctam sctentfam , manifeslè tu scis quia cùm à morte possem liberari , duros cor• poris suslineo dolores; secundù1n anirnam vero prop· ter tinioreni tuurn libenter liœc palior. II. Mach. v1. Gaudeo in pa.ssionihus, et adimpleo ea quœ des'ltlnJ passionuru Cliri~ti in carne meâ. Çoloss. 1. Monsieur POIROT, né à la Baffe , paroisse d;Archettes t près d'Épinal; vicaire de la B.resse : fusillé à Nanci • le 1er. janvier 1798. Il OMME doué de grands talens J et que déro• boit un extérieur peu avan.tageux ; d'un cœur . excellent , d'une aine sensible, d'un esprit vif, péné~rant, et avide de toute connoissance utile, M. Po1ROT sut apprécier de bonne heure la marche funeste de la révolution , ~t dé111ê• 1v. iS e-Médiathèque | Histoire Provence | YM_74 (4)

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