Guy Carron : Les confesseurs de la foi dans l'église gallicane à la fin du dix huitième siècle : tome quatrième

( 185 ) n trop heureux de recevoir. 1\u reste, en de-– » n1an<la11t et recevant la vùt re, je proteste à » la face du eieJ et de ]a terr·e, que je ne i1ar– n ticipe en rien à votre schisn1e dan1nahle, et H que je n1eurs dans la religion catholique, » apostolique et ron1ainc, clont j'ai toujours )) fait profession, et qui est n1on nuiqne conso– >l lation à l'heure <le la rnort ». (~es réflexions, » con1n1e il en convint, firent sur son esprit » et sur son cœur nue si vive irnpression , " qu'il rétracta son serrnenl, an n1épris des )) .dangers qui pourroient en résulter pour lui, » de la part des persécuteurs ». Qu'ou nous pardonne lïnnocente digression que nous nons son1n1es permise, avant de porter nos regards sur le jeune vicaire, qui souffrit deux fois le 111artyre, selon la relation suivHnte d~un respect<ible ~on1pagoon de sa captivité. Nous le laisserons parler lni-n1èn1e. << J_,o~~sque les tllÏuÎ?tres sacrés étoienf tour– >> n1entés et poursuivis partout, l\iI. Perrin , » averti dans la n1aison où il s'étoit retiré , ' 't •t l • 1' A » qu ou e 01 en inarc ie pour Yen1r a1·reter , » cc digne prêtre, à l'exen~p1e de sou divin 1\ ,. /\ . l . c • ' , . d , b , ~> '!.aitre, qui p us1enrs Lo1s s eto1t ero e pa1· >.~ la fuite aux recherchts de ses pcrsét:uicurs, e-Médiathèque | Histoire Provence | YM_74 (4)

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